"Soyez féconds,
multipliez,
emplissez la terre et soumettez la" (3)...
" ( ) il est inutile de vouloir renverser la technique. L'âge du rouet n'est plus et le rêve d'une civilisation artisanale est vain." (4)
Cependant, "nous n'avons jamais autant maltraité notre maison comune qu'en ces deux derniers siècles."( )
Si nous nous approchons de la nature et de l'environnement sans cette ouverture à l'étonnement et à l'émerveillement, si nous ne parlons plus le langage de la fraternité et de la beauté dans notre relation avec le monde, nos attitudes seront celles du dominateur, du consommateur ou du pur exploiteur de ressources, incapable de fixer des limites à ses intérêts immédiats."(5)
Il n'y a pas deux crises séparées, l'une environnementale et l'autre sociale mais une seule et complexe crise socio environnementale. Les possibilités de solutions requièrent une approche intégrale pour combattre la pauvreté, pour rendre la dignité aux exclus et simultanément pour préserver la nature.'(5)
'( ), il y a un certain respect qui nous attache, et un général devoir d'humanité, non aux bêtes seulement qui ont vie et sentiment, mais aux arbres mêmes et aux plantes. Nous devons la justice aux hommes, et la grâce et la bénignité aux autres créatures qui en peuvent être capables.'(7)
Zakhor et Shamor (8)
De l'hubris à la limite
De la possession à la contemplation...
L'apport (essentiel) de la philosophie occidentale
reste la perception de l'homme comme sujet autonome même s'il n'est pas et ne doit pas être maître et possesseur du monde !
" l’écologie politique doit repenser son rapport à la nature, à la terre.
En effet, si l’on tient à une telle référence naturelle il est indispensable de la penser dans un rapport dialectique avec l’homme.
Reposant sur la conviction qu’entre ces deux entités les rapports ne relèvent ni de la simple domination – conséquence d’un dualisme – (comment le pourrait elle au vu des catastrophes naturelles rendant la nature plus mystérieuse….), ni d’une simple fusion – conséquence du monisme soumettant les hommes à une introuvable loi naturelle – ; cette pensée dialectique s’attache à souligner que les rapports entre l’homme et la nature sont bien plutôt d’implication réciproque et d’interaction."(9)
Un et un dix (11)
Dix et dix cent
Et cent et cent qu'est-ce qu'ils font ?
Point ne s'en vont !
Et la machine obstuse
Poursuit sempiternelle
Un et un dix
Dix et dix cent
Vrai/faux, vrai/faux
Scande le cœur du computeur...
Et toi tu restes là
A rêver d'un peut-être
A rêver d'un stratus
Au mitan du ciel bleu
Au rapp tu préfères
Le rythme de la valse
Ouverte ou bien fermée
La porte entrebaillée ?
Un et un dix
Dix et dix cent
Et/ou, et/ou
Logique de l'absurde
'Boolimie' de l'algèbre (12)
Qui dévore un à un
Le yin, le yang et le tao !
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